La maison communale

A l’angle de l'ancien chemin du Trieu-Maquette et du chemin du Maillet (rue des Déportés), face à l'église, se trouvait l'ancienne maison communale construite en 1873-18714 elle fut inaugurée officiellement et en grande pompe en 1874. On construisit en même temps l'école communale, contiguë à l'habitation de l'instituteur monsieur Le Francq. Ces bâtiments furent remplacés par une construction moderne en 1975, juste avant la fusion des communes.

Les maires

Berland Gabriel, premier maire connu, en l'an 12 de la République française, et Dehoux son adjoint.
Lepoivre Joseph, fut maire de Sirault le 2 nivôse an 13
(23 décembre 1804).
Lepoivre Jean-Baptiste, propriétaire du Petit-Forest, qui le devient de 1819 à 1842.
Demelin-Zoude Maximilien, lui succéda de 1843 à 1848.
Lepoivre Jean-Baptiste, de 1849 à 1860. Il meurt le 2 mars 1864, âgé de 81 ans.
Demelin-Zoude Maximilien, de 1861 et jusqu'à sa mort en 1866.
Hubert de Salmont Fortuné, de 1867 à 1878.
Coulon Pierre-Alexis, de 1879 à 1898.

Les bourgmestres

Bourdiaud'huy Adolphe, de 1899 à 1905, échevins MM. Guérit et Durieu.
Guerit Victor, de 1906 à 1920.
Degand Louis, de novembre 1914 à avril 1915 et de juin 1915 à 1918.
Cauchies Edmond, mai 1915.
Durieu Edmond, de 1921 à 1934, né à Sirault le 24 février 1871, et décédé le 13 avril 1934.Veuf de Dame Antoinette Lenfant. Décoré de la Médaille du Centenaire et de la médaille du C.N.
Lenfant Edmond, de 1935 à 1938.
Saudoyez Victor, de 1939 à 1941.
Dramaix Michel, a fait les fonctions de 1942 à 1944.
Culem Jules
Cornez Victor, a été le dernier bourgmestre de Sirault.

Inauguration du complexe communal

Après adjudication publique, c'est l'architecte M. Faucon et la firme Seghers qui fut chargée du travail. Pour la peinture elle fut réalisée par l'entrepreneur siraultois Robert Vos et son personnel.
L'ancienne maison communale a fait place à un complexe flambant neuf groupant en plus des locaux administratifs, un logement pour le concierge et une vaste salle polyvalente qui est la bienvenue dans une commune où toutes les grandes salles réservées aux manifestations ont successivement disparu.