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Decroly, Michel, Antoine, Oscar
Né à Sirault le 16 janvier 1917
Né à Sirault le 16 janvier 1917
Michel fait son service militaire le 31 août 1937, dans le 2ème Régiment des Chasseurs à Pied comme caporal.
Fin du service 26 août 1939.
Ancien combattant de 1940, Michel Decroly fit la campagne des 18 jours. Rentré dans son foyer, il ne crut pas non plus à la victoire allemande. Il fut parmi les premiers militants de la résistance, car dès 1941, il était aux côtés de son camarade Jean Lenoir. Michel était membre de l’Armée Secrète comme chef de Groupement, numéro de carte 111.030.
Il exécuta plusieurs missions dangereuses, mais plus spécialement les transports d’armes, de munitions, etc…qu’il entreposait souvent chez lui.
Ce vaillant fils de fermier dont le courage, tranquille, sauva un jour, une précieuse charge qu'il convoyait. Pour dégager son chariot versé dans un fossé, il demanda et obtint l'aide d'une patrouille allemande qui arrivait sur lui. Son chariot contenait trois tonnes d'armes et d'explosifs.
En 1944, son activité à l’A.S. dut être forcément restreinte, pourchassé, traqué par l’ennemi, il dut se cacher et quitter la commune. A la libération, il revint chez lui et le 3 septembre 1944 alors qu’il se rendait au village de Sirault pour y assister ses camarades aux prises avec une colonne allemande, il fut mortellement blessé. Evacué vers la clinique de Baudour, il devait y mourir le 7 septembre 1944.
Audacieux, pendant des mois, harcelant l’ennemi sans cesse, toujours il sut lui échapper.
Au moment de notre libération, il succomba. Pendant ses jours de clinique, il ne regretta rien.
Une rue de Sirault porte son nom
Fin du service 26 août 1939.
Ancien combattant de 1940, Michel Decroly fit la campagne des 18 jours. Rentré dans son foyer, il ne crut pas non plus à la victoire allemande. Il fut parmi les premiers militants de la résistance, car dès 1941, il était aux côtés de son camarade Jean Lenoir. Michel était membre de l’Armée Secrète comme chef de Groupement, numéro de carte 111.030.
Il exécuta plusieurs missions dangereuses, mais plus spécialement les transports d’armes, de munitions, etc…qu’il entreposait souvent chez lui.
Ce vaillant fils de fermier dont le courage, tranquille, sauva un jour, une précieuse charge qu'il convoyait. Pour dégager son chariot versé dans un fossé, il demanda et obtint l'aide d'une patrouille allemande qui arrivait sur lui. Son chariot contenait trois tonnes d'armes et d'explosifs.
En 1944, son activité à l’A.S. dut être forcément restreinte, pourchassé, traqué par l’ennemi, il dut se cacher et quitter la commune. A la libération, il revint chez lui et le 3 septembre 1944 alors qu’il se rendait au village de Sirault pour y assister ses camarades aux prises avec une colonne allemande, il fut mortellement blessé. Evacué vers la clinique de Baudour, il devait y mourir le 7 septembre 1944.
Audacieux, pendant des mois, harcelant l’ennemi sans cesse, toujours il sut lui échapper.
Au moment de notre libération, il succomba. Pendant ses jours de clinique, il ne regretta rien.
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Mangelinckx Didier - Loiselet Marie-Line
